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Qu’est-ce que l’urbanisation à la Renaissance ?

Bertrand Mahe
Bertrand Mahe
2025-08-14 18:42:57
Nombre de réponses : 15
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L'urbanisme de la Renaissance et des temps modernes se rattache à l'art par des liens étroits et nombreux. Entre l'urbanisme religieux des anciens et l'urbanisme pratique des modernes, celui de l'âge classique peut être dit esthétique. La notion de l'ensemble urbain, que d'aucuns croient un privilège de notre temps, est fort ancienne. L'œuvre des papes à Rome pendant trois siècles, l'aménagement des villes hollandaises dès le xvie siècle aussi bien que les grands recueils du xvme siècle français, Patte et Blondel, sont là pour le prouver. Cette période de trois siècles, M. Lavedan la divise en deux parties, une période italienne, comprenant le xvie et les deux. C'est donc l'histoire de l'évolution des villes telle que l'a conçue et réalisée la civilisation européenne du xvie au xvme siècle.
Susan Clerc
Susan Clerc
2025-08-06 06:43:10
Nombre de réponses : 9
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Il n'y a aucune information dans le texte qui permettrait de répondre à la question « Qu’est-ce que l’urbanisation à la Renaissance? ». none
Isabelle Dias
Isabelle Dias
2025-07-26 21:13:23
Nombre de réponses : 10
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L’urbanisme, comme son étymologie l’indique, traite de la ville et demeure encore aujourd’hui considéré soit comme une sorte d’appendice de l’art particulier qu’est l’architecture, soit comme une partie intégrante des sciences de l’ingénieur qui relèvent du génie urbain. Dans ce livre, Gilles Novarina, chercheur au laboratoire Architecture, environnement & cultures constructives de l’École d’architecture de Grenoble, détaille en trois modèles la diversité des expériences d’urbanisme qu’ont connues les villes depuis le XVIe siècle : la ville régulière géométrique, la ville organique et la ville moderne qui adapte les structures urbaines aux progrès techniques et économiques. La dernière partie de l’ouvrage montre comment ces modèles doivent être revisités pour répondre aux défis contemporains. Des chercheurs insistent sur la nécessité de réfléchir à ce qui différencie l’urbaniste des savoirs qui lui sont proches et, plus particulièrement, de l’architecture et de l’ingénierie.