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Quelles sont les trois facettes du métier d'archéologue ?

Zacharie Rey
Zacharie Rey
2025-07-28 12:46:30
Nombre de réponses : 8
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Il y a celles et ceux qui ont un besoin physique du terrain de fouille au quotidien. Il y a celles et ceux qui sont accros au laboratoire et à ses analyses. Il y a celles et ceux qui se consacrent à ses opérations de restauration et de conservation, du musée et de ses collections.
Guy Meunier
Guy Meunier
2025-07-28 12:34:21
Nombre de réponses : 9
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L’archéologue creuse dans le présent pour découvrir des indices du passé. S’il est actif sur le terrain, il n’en reste pas moins un universitaire qui se plonge dans les livres pour trouver le moindre indice qui l’aidera dans sa quête. L’archéologue peut passer des mois sur un site archéologique afin de découvrir des vestiges du passé. Il procède à des fouilles et peut intervenir en France comme à l’étranger dans le cadre d’études scientifique. Il prospecte et utilise des techniques émettre des hypothèses sur les relations entre l’homme et son environnement. Ensuite il rédige un rapport synthétique sur son travail avec des résultats diffusés au grand public via des conférences ou des publications. Un archéologue peut être directeur d’un département au sein d’un inrap ou d’une drac ou d’un inrap, et être directeur des services municipaux, d’un cnrs umr, ou de l’université ufr. de nombreuses professions peuvent se développer : Chef d’une mission d’aide aux pauvres Animation de manifestations culturelles Directeur d’une organisation Ethnologue Historien
Adélaïde Ferreira
Adélaïde Ferreira
2025-07-28 10:15:10
Nombre de réponses : 6
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L’archéologue observe, enregistre et capitalise. La profession intègre des archéologues dont le savoir-faire s’applique à la prospection, la mise au jour et l’observation. Un ensemble de gestes et de compétences vise donc à « rétablir des identités » à des « choses » qui, au gré de l’Histoire, se sont dégradées, sont tombées en désuétude ou en ruine, et quelquefois ont fini par disparaître. Il s’agit également, pour l’archéologue, de donner du sens, de comprendre les « systèmes techniques », les systèmes de production, les modes d’exploitation auxquels appartenaient tous ces ensembles complexes et ces objets archéologiques, de l’éclat de silex au paysage modifié par l’homme. L’établissement de ces problématiques, variable en fonction de la pauvreté ou de la richesse des données archéologiques et de l’état de la documentation, mobilise d’autres compétences encore : croiser des sources, interpréter, expérimenter, modéliser.