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Pourquoi Carnac ?

Éléonore Alexandre
Éléonore Alexandre
2025-08-06 00:22:08
Nombre de réponses : 7
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Premier site mégalithique au monde, Carnac représente un pôle touristique majeur, qui attire chaque année plus de 600 000 visiteurs et de nombreux chercheurs scientifiques. Dans les années à venir, la possible reconnaissance de ce site Mégalithique au Patrimoine Mondial de l’Unesco devrait accroître le rayonnement de la station balnéaire. Carnac est une ville de caractère, authentique, qui passe de 5 000 habitants l’hiver à 50 000 l’été. En dehors du site mégalithique, le territoire ne manque pas de curiosités patrimoniales à dénicher et à visiter et fait vibrer sa langue, sa musique et ses danses bretonnes. Ses légendes la racontent. Ses paysages, ses plages et sa campagne ressourcent, inspirent et invitent à faire le plein d’expériences. Protégée par la Baie de Quiberon, Carnac bénéficie d’une météo clémente et d’un bel ensoleillement à l’année. La commune est située à 15 minutes d’Auray, 30 minutes de Vannes, 45 minutes de Lorient et à moins de 2h de Rennes. Depuis 2017, la ligne ferroviaire à Bretagne à Grande Vitesse rapproche Auray et donc Carnac de la capitale : Paris n'est plus qu'à 2h40 d’Auray, contre 3h10 auparavant. Un pôle multimodal porté par l’intercommunalité Auray-Quiberon-Terre-Atlantique (AQTA) est en cours de construction.
Amélie Pinto
Amélie Pinto
2025-07-28 20:00:38
Nombre de réponses : 14
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Une préservation exceptionnelle due au fait que Carnac est devenue une intense zone d’activités archéologiques au XIXe siècle, mais aussi au fait que ces milliers de pierres ont été intégrées dans la culture populaire par les contes, légendes et récits. Une chance aussi que le terrain n'ait pas ou peu été utilisé comme terre agricole. Des marques d’outils de carriers montrent toutefois la réutilisation de menhirs dans les constructions de bâtiments ou murets alentour. Il a donc fallu organiser la préservation et l’entretien du site, au risque sinon d’accélérer fortement l’érosion des sols archéologiques et de menacer à nouveau la stabilité des pierres dressées. Une mesure drastique a été prise entre 1991 et 1993 : clôturer la partie appartenant à l’Etat afin d’en contrôler l’accès. Celui-ci est libre en hiver quand il y a peu de public et limité à des visites guidées à effectif contrôlé durant la haute saison, pour protéger ce qui est aussi un site naturel fragile.