Quel âge ont les menhirs ?
Jacqueline Brun
2025-07-29 15:19:32
Nombre de réponses
: 9
Les menhirs forment une part importante du patrimoine archéologique de la région Auvergne et marquent encore les paysages.
Ces monuments sont traditionnellement considérés comme ayant été érigés au cours du Néolithique, en complément des dolmens.
Le « menhir » d’Aubière a été érigé à l’époque gallo-romaine.
Le « menhir » de Beaulieu est datable de la période gauloise.
Seuls des sondages peuvent permettre de déterminer l’âge de ces pierres levées, mais aussi leur fonction.
Nicole Ramos
2025-07-25 15:14:28
Nombre de réponses
: 11
Les alignements de Carnac ont dû être créés entre 7000 et 6500 ans BP.
Cela correspond à la période du Néolithique, quand les populations humaines venues d’ailleurs s’installèrent et se sédentarisèrent pour pratiquer les premières formes d’agriculture.
On estime que c’est également à ce moment que les familles se regroupèrent pour former les premiers « villages ».
Il a probablement fallu plusieurs générations d’hommes et de femmes pour former ces alignements, sur plusieurs centaines d’années.
Il y a plus de 4 000 menhirs sur les communes de Carnac et de la Trinité-sur-Mer, dont 3 000 forment les fameux alignements.
Il faut d’abord comprendre que ce que nous voyons aujourd’hui ne sont que les restes de ce qui a été construit il y a plus de 6 500 ans.
Les deux seules théories ayant un certain crédit chez les scientifiques actuels sont :– un lieu de culte (solaire ou lunaire) permettant de marquer les solstices et équinoxes– un sorte d’outil astronomique pour repérer les moments importants de la vie agricole
A noter, ces deux théories font appel à la notion de calendrier.
Les alignements de Carnac ont plus que 6 500 ans.
Joseph Roger
2025-07-12 07:44:01
Nombre de réponses
: 10
Les alignements aujourd'hui sont le plus grand site mégalithique au monde.
Les alignements, tels qu’on les voit aujourd'hui, ne sont que le vestige de constructions préhistoriques plus étendues.
Une préservation exceptionnelle due au fait que Carnac est devenue une intense zone d’activités archéologiques au XIXe siècle, mais aussi au fait que ces milliers de pierres ont été intégrées dans la culture populaire par les contes, légendes et récits.
Des marques d’outils de carriers montrent toutefois la réutilisation de menhirs dans les constructions de bâtiments ou murets alentour ; le site n’a cessé d’être utilisé, mais sans que sa perception d’ensemble ne disparaisse.
Il a donc fallu organiser la préservation et l’entretien du site, au risque sinon d’accélérer fortement l’érosion des sols archéologiques et de menacer à nouveau la stabilité des pierres dressées.
L'âge n'est pas explicitement mentionné dans le texte.
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