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Quelle race a le plus de phénotypes ?

Édouard De Oliveira
Édouard De Oliveira
2025-10-16 17:09:30
Nombre de réponses : 12
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Il n'y a pas d'informations suffisantes pour répondre à la question sur la race qui a le plus de phénotypes. Sinon, naissent des individus ayant des phénotypes - c'est-à-dire des aspects - intermédiaires. Les hommes sont divers, par la taille, la couleur et l'aspect des cheveux, les nuances de la peau, la forme du visage. Du fait des croisements entre toutes ces populations, on se rend compte que ces modifications d'aspect physique d'un point à l'autre du globe sont en général progressives.
Guy Pelletier
Guy Pelletier
2025-10-12 02:04:39
Nombre de réponses : 10
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Les chiens croisés ont l'avantage non pas d'une forme unique, mais bien plusieurs formes, dont des formes alternatives. La classification chien de type, n'est pas stable, elle n'est donc pas figée à un concepte où une forme idéalisé, au contraire ici, la forme sera diversifié. La Diversité, doit être à la fois 'en Formes diverses et alternatives" et également Génétique qui est empêche toute consanguinité. Certains ont le type "wolf", d'autres le type berger-retriever, d'autre plus le type lévrier que retriever, mais le secret des formes alternatives, sont basé sur plusieurs générations. L'idéal ici, serait d'encouragé la diversité génétique et physique, les chiens croisés ont l'avantage non pas d'une forme unique, mais bien plusieurs formes, dont des formes alternatives.
Pierre Meyer
Pierre Meyer
2025-09-29 22:45:13
Nombre de réponses : 9
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Les différences de phénotype à l’origine de la notion de race. Jusqu'aux premiers siècles de notre ère, du fait de leur relatif cloisonnement géographique, les hommes n'ont guère eu conscience des différences liées au phénotype. Une première prise de conscience de ces différences apparaît dans le monde arabo-musulman quand celui-ci se confronte aux populations subsahariennes. Il s'ensuit la naissance du préjugé de couleur. Bien plus tard, au XVIIe siècle, les premières grandes explorations maritimes et la rencontre de nouvelles civilisations conduisent les Européens à constater des différences de phénotype entre les êtres humains selon leur origine géographique : Européens, Méditerranéens, Amérindiens, Africains, Chinois, Tamouls, etc. Au siècle suivant, des savants vont tenter de classifier les êtres humains selon la couleur de peau, les cheveux, etc. voire la morphologie du crâne. C'est alors que le mot « race », jusqu'alors très flou, en vient à désigner chaque groupe humain défini par un phénotype particulier. Ainsi, dans Systema naturae (1758), le grand savant naturaliste suédois Carl von Linné identifie au sein de l'espèce humaine quatre variétés principales : Blancs, Noirs, Jaunes, Rouges en attribuant à chacun un caractère spécifique : sanguin, flegmatique, mélancolique, colérique! De fil en aiguille, les savants en arrivent à une hiérarchisation des races au sein de l'espèce humaine. C'est ainsi que le médecin allemand Johann Frierdich Blumentach situe en 1795 la race « caucasienne » (la sienne!) tout en haut de la hiérarchie humaine. Le découpage racial du recensement de 2020 aux États-Unis découle de cette représentation puisqu’il distingue cinq races dont trois sont prédominantes : les Blancs, les Afro-Américains et les Asiatiques forment 96,6% de la population.