Comment dit-on Carnac en breton ?

Le mot breton « Carnac » signifie rien car il n'est pas expliqué dans le texte. Le texte parle de plusieurs mots français d'origine bretonne comme menhir, goëland, bijou, baragouiner. Il n'y a pas de traduction de Carnac en breton dans le texte. Les mots bretons expliqués dans l'article sont goëland qui signifie gwelan, cohue qui signifie koc’hu, baragouiner qui vient de bara et gwin. Le mot breton n'est pas employé pour Carnac dans le texte fourni. Carnac n'est pas dans l'article. Il y a des explications pour d'autres mots d'origine bretonne tels que balai, califourchon, plouc, darne.

Du breton Karnag, de karn. Ernest Nègre relate lui aussi le terme *carn, qui est soit gaulois celtique, soit préceltique, et signifiant "tas de pierres". Albert Dauzat, du gaulois carn-, donnant la même explication que le breton, à savoir, un élément carn-, qui représente le celtique et pré-celtique *karn- signifiant « amas de pierres ». Xavier Delamarre aussi, le mot gaulois est la même origine celte que pour le breton, indirectement attesté par un verbe, carnitu, carnitus, mentionné dans des inscriptions qui signifierait « a placé, a érigé (une tombe) » ; karni- est un verbe qui à l'origine voulait tout simplement dire « empiler des pierres » qui a pris le sens plus technique d’« ériger un tombeau ». Pour Henri d'Arbois de Jubainville, puis Pierre-Yves Lambert, Carnac serait un anthroponyme, avec un suffixe en -acum, contenant un nom de personne.

Kervarioù, moarvat, eo ar steudadoù m'eo tremenet an darn vrasañ eus an dud e Karnag, abalamour da vent souezhus o fezhioù mein. Kermario est probablement le site de Carnac ayant la plus forte fréquentation, qu'il doit aux dimensions impressionnantes de ses monolithes. Karnag est probablement la traduction de Carnac en breton.

CARNAC KARNAG Karnagiz CARNAC KARNAG Karnagiz KARNAG Karnagiz CARNAC KARNAG Karnagiz KARNAG Karnagiz